Le dictionnaire Larousse définit une drogue comme étant une "chose qui grise, intoxique l'esprit ou dont on ne saurait psychologiquement se passer". Tiens donc. Dans mon cas, je crois que cette définition s'applique bien à l'intérêt que je porte au sujet de l'immobilier.
Je n'ai jamais pris de drogue, mais j'imagine que ça peut ressembler à ceci:
1) La peur d'essayer et de le regretter
On a peur, on ne connait pas ses effets, on craint les effets secondaires. On se dit que ce n'est pas pour nous.
L'immobilier, on en devient vite accroc! |
2) Tenter une première fois... puis aimer ça
On se décide un jour à foncer et à essayer. Il peut avoir quelques "effets secondaires", comme des petits dégâts d'eau, des loyers en retard, mais on a vite un "high" et on trouve ça agréable. On reste prudent, on est heureux et satisfait durant quelques mois. Puis.. on se dit: "et si je réessayais une 2e fois... " On se met à chercher un autre immeuble, on fait des simulations et on se dit qu'on est capable.
3) Devenir accroc et ne pas vouloir arrêter
Un jour l'occasion se représente, et en moins de deux, on fonce. Offre d'achat rédigée en quelques minutes, négociation, attente, puis la joie: offre acceptée. On est grisé. On est sur un autre "buzz". Ça ne dure que quelques mois seulement puis on se dit: "mais pourquoi pas réessayer de nouveau". Mais cette drogue coûte chère! Comment se le permettre ? Alors on tente par tous les moyens de trouver une façon de se procurer notre prochaine acquisition, quitte à aller la chercher plus loin en région où les prix y sont moins chers.
4) Attention à ne pas en abuser trop souvent
Présentement tout semble bien aller, on est en contrôle de notre "consommation". On se dit que ça va toujours être ainsi. Mais attention, restons la tête froide. Il faut prendre le temps de digérer ces acquisitions et surtout il ne faut pas trop s'exposer aux risques. Il faut se garder des liquidités pour les jours où l'environnement économique changera (par exemple une montée des taux d'intérêts). Notre esprit en devient accroc et en redemande encore et encore. Je crois que je vais faire une "rechute" bientôt...
Bonjour.
RépondreSupprimerA quand l'investissement sur le sol français?
@Matt
RépondreSupprimerDans 20 ans peut être!!
Dan
RépondreSupprimerBonjour !
...et sur le sol américain ?