Un petit duplex très bien situé près du métro Frontenac à Montréal a été mis en vente il y a moins de 2 semaines. Le propriétaire, que je connais très bien et que j'ai aidé dans son processus de vente, a pris la décision de le mettre en vente lui même via DuProprio (sans agent, sans commission).
Ouf! Les 6 jours suivant l'apparition de son annonce sur DuProprio ont été toute une expérience! Une cinquantaine d'appels, environ 25 visites...et la bonne nouvelle: 7 offres d'achats intéressantes reçues. Certains soir, il y avait des visites aux 30 minutes et nous étions deux pour gérer les visiteurs!
La majorité des acheteurs étaient des jeunes couples dans la fin vingtaine et début trentaine, et peut être un hasard, plusieurs attendaient leur premier bébé. Le propriétaire a finalement conclu la transaction cette semaine à un prix supérieur à son prix demandé! Il y a effectivement eu une petite surenchère. Deux acheteurs ont proposé environ 10,000$ de plus que le prix demandé. Le choix a été envers le couple qui avait la plus grosse mise de fonds (20%).
Plusieurs acheteurs nous ont fait part du peu de duplex de qualité disponibles sur le marché. Bien que le prix vendu est haut pour un duplex (410,000$), je crois que les acheteurs ont fait un bon coup. S'ils avaient opté pour un condominium neuf (un 4 1/2) dans le même secteur, ils auraient acheté autour de 275,000$, et ce avec un petit condo sans jardin, sans spa extérieur, sans stationnement, sans sous-sol.
Mon point de vue est qu'il faut maintenant comparer le coût d'habiter un duplex avec le coût d'habiter un condo neuf. Une fois encaissé le loyer du 2e étage, les nouveaux propriétaires vont payer le même montant mensuel que s'ils avaient acquis un condo, sans compter qu'ils vont pouvoir déduire 50% des dépenses d'intérêts, taxes, et assurance du duplex de leurs impôts.
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| Quand un immeuble se distingue et qu'il est au bon prix, il peut y avoir de multiples offres et de la surenchère. |
Ouf! Les 6 jours suivant l'apparition de son annonce sur DuProprio ont été toute une expérience! Une cinquantaine d'appels, environ 25 visites...et la bonne nouvelle: 7 offres d'achats intéressantes reçues. Certains soir, il y avait des visites aux 30 minutes et nous étions deux pour gérer les visiteurs!
La majorité des acheteurs étaient des jeunes couples dans la fin vingtaine et début trentaine, et peut être un hasard, plusieurs attendaient leur premier bébé. Le propriétaire a finalement conclu la transaction cette semaine à un prix supérieur à son prix demandé! Il y a effectivement eu une petite surenchère. Deux acheteurs ont proposé environ 10,000$ de plus que le prix demandé. Le choix a été envers le couple qui avait la plus grosse mise de fonds (20%).
Plusieurs acheteurs nous ont fait part du peu de duplex de qualité disponibles sur le marché. Bien que le prix vendu est haut pour un duplex (410,000$), je crois que les acheteurs ont fait un bon coup. S'ils avaient opté pour un condominium neuf (un 4 1/2) dans le même secteur, ils auraient acheté autour de 275,000$, et ce avec un petit condo sans jardin, sans spa extérieur, sans stationnement, sans sous-sol.
Mon point de vue est qu'il faut maintenant comparer le coût d'habiter un duplex avec le coût d'habiter un condo neuf. Une fois encaissé le loyer du 2e étage, les nouveaux propriétaires vont payer le même montant mensuel que s'ils avaient acquis un condo, sans compter qu'ils vont pouvoir déduire 50% des dépenses d'intérêts, taxes, et assurance du duplex de leurs impôts.
Bonjour,
RépondreSupprimerje viens lire votre blogue (une référence m'a parlé de votre site), alors désolé pour le retard de mon commentaire.
En 2010, j'ai acheté 2 duplex (3 logements plus le mien que j'habite). Le principe d'avoir un garage et une cour est intéressant tout en ayant un locataire qui paie. Le hic est que certain ne comprennent pas la notion de voisin-propriétaire (il vient me voir pour m'emprunter un marteau, se plaindre de son locataire etc.) La bonne nouvelle est que je suis à proximité pour les loyers ou suivi des logements. Cependant, je ne serais pas prêt à élever un enfant dans ces conditions.